La mia casa nel Palazzo San Felice

Ce palais baroque édifié vers 1728 par l'architecte Ferdinando Felice, reste l'un des plus
spectaculaires de la ville avec ses escaliers miraculeux dressés vers l'azur. Il est au cœur du
quartier populaire de la Sanita, fief de l'acteur Toto qui y vit le jour en 1898.

Palazzo San Felice, la "Casa del Genio"

Au fond d'une cour d'honneur, au seuil d'une rue populaire et grouillante, se dresse l’imposante façade du Palazzo San Felice. Son escalier monumental ad ali di falco « en ailes de faucon » d'où jaillit en transparence la lumière venue du jardin...

Il Palazzo San Felice

« Au fond de la cour, construit en avant de la façade, le fameux escalier de Sanfelice, un édifice à part, un bâtiment en soi, plus qu’un simple escalier, avec ses rampes couvertes qui battent dans la pénombre et s’inclinent comme les pennes d’un gigantesque oiseau triplement ailé. Les arcs vides, les trous d’ombre alternent avec les piliers pleins, les pipernes noir du Vésuve avec le marbre de Carrare. »

Dominique Fernandez, Porporino ou les mystères de Naples

La Sanita

La Sanita s'intègre dans le Borgo dei Vergini, quartier d'une extraordinaire richesse archéologique et historique. A proximité des trois plus importants musées de Naples, le musée archéologique, le musée de Capodimonte et le musée d'art contemporain...

La Sanita

Bouillonnante, effervescente, bruyante et anarchique, la Sanita est l’un des quartiers les plus pauvres et les plus riches de Naples. D’une vitalité étourdissante où la liberté de chacun est sacrée.

Naples, ville prodigieuse

Naples est la ville la plus mystérieuse d'Europe, la seule ville du monde antique qui n'ait pas péri comme Ilion, comme Ninive, comme Babylone. C'est la seule ville au monde qui n'a pas sombré dans l'immense naufrage de la civilisation antique. Naples est un Pompéi qui n'a jamais été enseveli. Ce n'est pas une ville: c'est un monde. Le monde antique, préchrétien, demeuré intact à la surface du monde moderne." La peau, Malaparte

Naples

« Naples et Paris : les deux seules capitales »

Stendhal